Voix de victoire de février 2019


Mot du Pasteur

Lorsque nous voyons arriver le mois de février nous pensons neige, vents, poudreries, verglas, pluie et nous oublions que parfois le soleil sera de la partie.

Il en est de même dans nos vies, il y a des périodes que nous pourrions appeler périodes de février ou nous nous disons: « j’ai hâte que les tempêtes (Épreuves) arrêtent ».

Mtt. 8:24-27 est le récit de la tempête apaisée. Comme les disciples, nous sommes inquiets (Parfois nous paniquons) ne sachant quoi faire.  Ce que le maître nous demande, c’est de lui faire confiance, Il est en contrôle. Apprenons à garder les yeux sur lui comme Pierre l’a fait dans un autre récit (Mtt. 14:29) lorsque  Pierre quitta du regard Jésus, il commença à s’enfoncer.

Quelque soit la tempête dans ta vie présentement, sache que le Maître est là, Il est fidèle (Rom.8 :28). Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein. (Garde le regard sur le Maître).

Pasteur Gilles

 

******************************************************************

 

Ma princesse, TU AS LA LIBERTÉ D’AIMER

(Encouragement pour les femmes)

Je t’ai donné la liberté d’aimer les autres, alors ne laisse personne qui t’a causé de la peine te paralyser quant à l’expérimentation des joies de l’amour.

Je sais qu’il y a toujours un risque quand tu laisses parler une partie de ton cœur, mais je t’ai créé pour que tu te réjouisses du don particulier de l’amitié. Choisis sagement les personnes pour lesquelles tu investiras ton temps et ton énergie, et surtout donne à ceux que tu aimes le droit de se tromper. Souviens-toi que personne ne t’aimera aussi parfaitement que je le fais. Si tu me permets de prendre les désappointements qui viennent avec tes relations, tu deviendras libre de sonner et de recevoir l’amour inconditionnellement.

Rappelle-toi, ma princesse, c’est souvent quand les personnes le méritent le moins qu’elles ont le plus besoin d’amour.

Je t’aime,

Ton Roi qui est en amour.

« Avant tout, ayez les uns pour les autres une ardente charité, car la charité couvre une multitude de péchés ». 1 Pierre 4:8

(Tiré du livre « Ma Princesse, Lettres du Père à sa chérie » par Sheri Rose Shepherd)

 

******************************************************************

 

Le Pardon au-delà des mots

Le pardon est difficile à pratiquer et n’est pas un geste naturel et facile pour l’homme de nature adamique.  Nous avons plutôt tendance à nous laisser diriger par nos sentiments et à nous complaire dans l’amertume et cela est très nocif  pour nous et pour les autres (Héb. 12,15).

Parce que l’amertume empoisonne nos pensées et déforme la réalité, elle nous isole des autres et alimente de mauvais sentiments et cette attitude peut affecter notre entourage.

Et c’est un mensonge de croire que le temps arrange tout, le temps n’arrange rien.  Le passé ne s’efface pas et inutile de chercher à oublier l’offense, cela ne fait que repousser la rancœur plus loin dans le cœur et cela va produire des racines d’amertume.

Certains diront : ‘’Je ne peux pardonner’’.  La question n’est pas de pouvoir, mais de vouloir.  Tant que nous résistons à la décision de pardonner, nous résistons à Dieu et nous faisons obstacle à sa présence qui nous procure sa paix et sa joie (Jac. 4.6).

Il faut également comprendre que le pardon n’est pas une émotion. Le pardon est une décision rationnelle et volontaire qui livrera un combat contre vos sentiments. Ce combat se livre en particulier dans nos pensées, c’est la raison pour laquelle le renouvellement de notre intelligence par la Parole de Dieu est essentiel, afin d’amener toute pensée captive à l’obéissance de Christ (2 Cor. 10.5).

Le pardon est l’obéissance à la Parole de Dieu (Eph. 4,30-32).

De plus, le vrai motif du pardon provient de l’amour, un fruit de   l’Esprit-Saint qui s’édifie dans la fréquentation de notre Seigneur et à la méditation de la Parole de Dieu.

À l’exemple de notre Père Céleste, il a manifesté sa miséricorde en exprimant son amour en donnant son Fils à la croix (Jn 3,16). Afin que tous croyants repentant soient réconciliés avec Lui (Rom. 5.10 ; 1 Jn 1. 6-7).

De même, nous aussi, nous devons pardonner réciproquement à tout frère repentant (Luc 17, 3-5), comme Dieu nous a pardonné en Christ, avec le même amour dispensé par le Saint-Esprit. (Éph. 4,32 ; 5, 1-2 ; Col. 3,13-14)

D’ailleurs, le but premier du pardon est la réconciliation avec le Père et l’offenseur repentant (1 Jn 1.6).

Suite à cette réconciliation, la paix et la joie vont se reposer sur nous, et nous allons connaître la vraie liberté.  Car l’amour nous rend libre de toute amertume dans nos pensées.

C’est pourquoi, il faut pardonner au-delà de nos paroles, et ne pas pardonner seulement pour se donner bonne conscience, car c’est un pardon sans amour qui n’a pas de valeur (1 Cor. 13,1).  Il faut aimer avec bienveillance (1 Jn 3.18).

Nous ne pouvons pas prétendre être en communion avec son Père en vivant dans l’amertume. En réalité, ce chrétien simule la spiritualité tout en commettant un acte de péché sous le refus de pardonner (1 Jn 1.7-10).

Voilà pourquoi le pardon effectué dans l’amour est si important.  Elle procure la communion avec le Père et aura pour effet la guérison de l’âme, la paix et la joie dans notre cœur et une saine relation avec votre entourage. Le pardon procure la santé spirituelle.

Comme les conflits sont inévitables, il en est de même de la réconciliation, elle est inévitable si nous désirons la communion avec notre Dieu.

Le secret de la réconciliation résidera toujours dans le pardon véritable dans l’amour.

Le pardon n’est pas une faiblesse de la personnalité, elle est une démonstration de la sagesse et d’amour que doit refléter tout disciple (Jn 13.35).

La réconciliation est le but ultime de l’Évangile et notre mission comme chrétien vers le monde, les frères et sœurs et vers nous même.

«Allez, … pardonnez vous réciproquement…» (Col. 3,13)

Parole de celui qui à été percé par amour, pour vous réconcilier avec le Père.

Votre frère Christian Viau

 

******************************************************************

 

EXHORTATION PAR PASTEUR JEAN RULAND

Jérémie 33:3 – Invoque-moi, et je te répondrai; Je t’annoncerai de grandes choses, des choses cachées, que tu ne connais pas.

Bien que Dieu commence par une demande, il s’agit d’une demande sur la base de deux réalités importantes.

1. Tout d’abord, il faut admettre nos limites.

Ceci est indiqué par l’expression « de grandes choses, que vous ne savez pas. »

Je dis toujours : les miracles, l’impossible, c’est Dieu qui le fait par sa toute-puissance.

Nous ne savons et ne pouvons pas tout faire, nos capacités, nos connaissances sont limitées.

Aussi poussée que soit la technologie, les limites sont existantes.

Les plus grands scientifiques, même la NASA ne peut pas tout connaître, tout expliquer, même ce qu’ils découvrent restent un mystère.

D’autant plus lorsque c’est du domaine spirituel.

C’est pourquoi Dieu dit : Je t’annoncerai des choses cachées, que tu ne connais pas.

Quand Jérémie a écrit cette promesse donnée par Dieu il ” était encore enfermé dans la cour de la prison ” (33:1). Il est en prison, Jérusalem avait été conquise et détruite.

Alors Dieu lui demande de l’invoquer par rapport à l’état du peuple, qui devait se repentir, afin que Jérusalem ne soit pas détruite à cause de leurs péchés.

Lire Jérémie 32:33-35  Mais Dieu dans son amour dit à son serviteur : Invoque-moi, je te révélerai des secrets.

Il n’y a rien qui peut empêcher Dieu d’agir lorsqu’il y a une vraie repentance et de l’obéissance.

Nos montagnes pour Dieu sont des grains de sables.

Ceci suggère la deuxième réalité importante.

2. Deuxièmement, c’est admettre que Dieu est la réponse à nos besoins.

Dieu donne la clé à ceux qui reconnaissent leurs limites, et qui sont humbles. « Appelle-moi. »

Appelle-moi pour que j’ouvre le ciel et que ma bénédiction descende sur nous, que son intervention se manifeste avec puissance dans nos impossibilités, nos incapacités.

Dieu nous dit, cherche ma face, appelle-moi, prie, passe du temps dans ma présence, sanctifie-toi, met ta vie en règle.

Parce que « ce « MOI » dans ce verset n’est rien d’autre que Dieu lui-même.

Jérémie 32:27 « Voici, je suis l’Éternel, le Dieu de toute chair. Y a-t-il rien qui soit étonnant de ma part? »

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *